Entrons un peu dans le détail :

Félicitation à ceux qui poursuivent la lecture, vos efforts vous apporteront une meilleure compréhension de la démarche que je vous propose !

En introduction il est écrit que les GAFAM procèdent depuis plusieurs années à un pillage en règle de nos données, ce qui met notre vie privée, et nos démocraties en danger. Nous pouvons cependant constater une prise de conscience collective de plus en plus importante de cette situation. Mais, tout comme les questions de préservation de l'environnement, l'effort et la peur de perdre du confort nous freine...

Ceci étant, l'abandon de WhatsApp est plus que nécessaire, cela devrait être une urgence, voire un mot d'ordre national à l'instar d'une récente décision du ministère de l'Éducation Nationale qui proscrit dorénavant les offres gratuites de Microsoft Office 365 et de Google Workspace dans les écoles (voir source).

Il ne s'agit pas ici de faire un appel à l'abandon des nouvelles technologies mais bien de reprendre le contrôle de ce qui nous appartient.

L'obstacle principal à cette démarche se situe « entre la chaise et le clavier » ... nous ... bipède doué d'intelligence mais également fainéant et réfractaire au changement.

« quoi ? Abandonner What'sApp !? Mais je vais être coupé des autres !!! » Me disaient mes enfants il y a quelque temps encore.

Suivez-moi dans ce que j'appellerais « l'analogie de fumeur » :

Abandonner la clope, en dehors des bienfaits sur la santé, c'était aussi se priver d'un objet sociabilisant (et ça, l'être humain il aime bien). Puis, est arrivé la cigarette électronique. Commercialisée au départ en dehors de la main mise des gros trusts du tabac, elle permit de conserver cet objet de sociabilisation artificielle avec - accessoirement - un gain non négligeable sur la santé. (mouaip ... l'analogie manque sûrement de finesse ...)

Nous pourrions échanger longtemps. Cependant le débat est clos : «quand c'est gratuit, c'est toi le produit »... ceci n'est cependant pas une fatalité si nous prenons les choses en main.

Intéressé ? Tant mieux !

Allons voir plus loin, soulevons ensemble légèrement le capot et lisons ... la suite